Après une visite des plus glauques de la vieille ville d’Hébron, après la visite du Tombeau des Patriarches , de la musique, de la dabké pour être précise, me sortit de mes « rêveries ». Un bol d’air. Malgré tout la vie semble continuer à Hébron.
De la musique, quel plus beau signe de vie et d’espoir peut-on trouver ? Naïvement, je demande s’il s’agit d’un mariage. On me répond par la négative.
Il s’agit de la célébration d’un « martyr » tué par l’armée israélienne pendant une manifestation contre l’offensive à Gaza. Il sortait de la mosquée selon une autre version. Toujours est-il que je n’aurais jamais imaginé que l’on puisse « célébrer » une mort avec de la musique. Des chants patriotiques ai-je appris a posteriori.
Last but not least. Des posters du jeune palestinien étaient distribués ainsi que des bonbons.
Décidément Hébron n’est pas une ville comme les autres.
3 commentaires:
"Toujours est-il que je n’aurais jamais imaginé que l’on puisse « célébrer » une mort avec de la musique. "
Ben il est pas marié .
@ jeune célibataire : c'est quoi le rapport ?
ben il part en fanfare, c'est normal, j'en ai déjà vu . Quand c'est un non marié, ya même des youyou .
Ah oui c'est vrai t'assistes pas toi , t'es une fifille .
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